Festival La Gacilly 2014, peuple et nature

Comme chaque année depuis 14 ans, le plus grand Festival Photo en plein air de France s’installe à La Gacilly du 3 Juin au 30 Septembre 2017. Située au Sud de la Bretagne, à deux pas de la forêt de Brocéliande, La Gacilly est une magnifique Cité de Caractère et d’Art qui a fait du respect de la nature une priorité. Après le Japon l’année dernière, l’Afrique est l’invitée d’honneur du Festival Photo La Gacilly, en 2017. Cette année le festival proposera plus de 35 expositions. Près de 400 000 visiteurs sont attendus durant les 4 mois du festival.

Les chevaux bretons face à l'homme

 

L’Afrique à travers le regard des Africains

Cette année, l’Afrique est au centre du Festival Photo de la Gacilly. La photographie africaine est encore méconnue et ce festival est aujourd’hui l’occasion de faire découvrir de grands photographes comme le Malien Seydou Keïta, figure de proue des photographes Africains, exposé notamment en 2016 au Grand Palais. Grâce à cette exposition, Cyril Drouhet, commissaire de l’exposition, souhaite faire découvrir l’Afrique à travers les yeux des photographes Africains : « Nous avons surtout des images liées à notre vision occidentale. Les photographes africains montrent leur propre perception de l’Afrique, différente de la nôtre, à travers des visages lumineux, (ils cultivent l’art du portrait), des moments de vie, de sorties… Ils présentent une Afrique quotidienne, urbaine ou naturelle. Ils s’interrogent aussi sur le paysage et sa mémoire, l’environnement et l’évolution de l’Afrique. Celle-ci est pleine d’espoir, car elle est jeune et offre un esprit de fête ».

Fermes africaines face à face Homme/Animal

Le second thème de l’édition 2017 traitera de la relation entre l’homme et l’animal. Il est intitulé « Homme-Animal : le face à face ». Une thématique en résonance directe avec les problématiques actuelles. En témoigne par exemple cette photo de la ville de Nairobi dont la croissance exponentielle menace chaque jour plus de 80 espèces de mammifères.

Nairobi, la ville est une jungle

La volonté des organisateurs est ici de montrer l’évolution de cette relation. « Les clichés révéleront les sorts divers des animaux : enfermés, assassinés, domestiqués, ou protégés ou en liberté ».  À travers l’exposition vous pourrez observer des photographes qui évoquent l’animal comme miroir de nous-mêmes ou comme reprenant ses droits, quand il investit les villes.

Elliott-Erwitt chien à New York

Comme chaque année le Festival mettra également en avant les enjeux environnementaux à travers notamment les expositions sur les marais de Glénac, ou encore la steppe kazakhe et ses fantômes du nucléaire. C’est là-bas que Phil Moore, un habitué des zones de conflits, s’est rendu durant plusieurs semaines afin de photographier des paysages ravagés et presque vidés de toute vie.

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer